Les auteurs tentent de rattraper un peu les lacunes précédemment soulevées en poussant Narutse a s’interroger sur la structure même d’un cerveau et le siège de sa conscience, mais le manque de connaissances du scénariste dans le domaine fait peine à voir.
La rencontre avec le père du donneur nous amène à douter de la santé mentale elle-même de Narutse. Schizophrénie existante ou induite par le greffon ? Le retour au travail montre de plus en plus la nouvelle facette arrogante et violente de Naruse.
Rien de bien nouveau dans ce volume, toutes les déviations du comportement s’accentuent chez Narutse donnant l’impression que le greffon reformate tout le reste du cerveau.