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NOON DU SOLEIL NOIR
Avec ce one-shot de 250 pages, le Bélial propose un roman de fantasy qui se dévore.
Fluidité de l'écriture, personnages attachants, et une petite pincée d'ironie qui nous amène ce sourire aux lèvres qui ne nous quitte pas.
On a envie de retourner dans cet univers, et vite !
Cela se passe dans la plus grande ville du monde connu. La Cité de la toge noire, la Ville aux mille fumées, donnez-lui le nom que vous voulez, vous y êtes déjà allé, vous y retournerez. Surplombée par le palais du Suzerain et les temples de l'allée des dieux, port maritime autant que fluvial, elle grouille de marchands, de prêtres, de voleurs. On y respire les parfums de pays lointains et la puanteur de la misère.
C'est là qu'est né, c'est là que survit Yors, ancien mercenaire devenu un peu philosophe par la force de l'âge et des choses. Mais la sagesse ne nourrit pas son homme et Yors n'a plus un sou en poche quand commence notre histoire. C'est par hasard qu'il va se mettre au service d'un jeune homme, un étranger venu faire des affaires en ville. Pas n'importe quelles affaires : de la sorcellerie. Nul ne l'ignore, les sorciers sont des crapules malhonnêtes, des vendeurs de malédictions, des préparateurs de potions aux doigts sales...
Courtois, un brin naïf, certain d'être le meilleur dans sa partie. Il s'appelle Noon, et son emblème est un soleil noir...